"Alors dans la route tortueuse qui descendait de la montagne, débouchait avec le bruit de ferraille d'une machine à enrayer détraquée, une guimbarde étrange, attelée d'un cheval blanc poussif. C'était une immense voiture peinte d'une large bande orange sur sa couverte de zinc oxydée et rouillée, et qui avait devant une espèce de petit porche, où un brin de lierre, planté dans une marmite rapiécée, accrochait un fronton de verdure voyageuse que secouait chaque cahot. Cette voiture était bientôt suivie d'une bizarre charrette verte dont la partie supérieure, abritée d'un toit, s'évasait et se renflait au-dessus de ses deux grandes roues, à la manière de ces larges flancs de steamboat, dans lesquels s'étagent les lits pour le coucher des passagers." Une réminiscence du Défilé de Romanichels, bien plus qu'une représentation du texte de Goncourt. Avec trois remarques, les portraits de Tommaso Bescapé, de Stépanida et de Nello bambin. Voir aussi le cul-de-lampe du ch. 5.
Une réminiscence du Défilé de Romanichels, bien plus qu'une représentation du texte de Goncourt.
Avec trois remarques, les portraits de Tommaso Bescapé, de Stépanida et de Nello bambin. Voir aussi le cul-de-lampe du ch. 5.