"Il était midi et il pleuvait. Fernande suivit la rue Pierre-Nys, où se trouve l’hôtel qu’elle avait quitté, et remonta jusqu’au boulevard. Elle était étonnée de ce qu’elle venait d’accomplir. Sous l’averse, Belleville étageait les cubes gris de ses constructions dont certaines s’élevaient très haut, dans une falote lumière. Des bouquets d’arbres, sans feuilles, indiquaient les jardins de la rue Piat." (ch. III.7)