"Fernande n’aimait pas ce quartier où, depuis qu’elle avait quitté Montmartre et Jésus-la-Caille, son nouvel amant vivait avec elle. C’est lui qu’elle allait rejoindre tout à l’heure dans un débit de la rue de l’Orillon et elle y était faite comme à une habitude que rien ne dérangera plus." (ch. III.1)